Solitaires....
Combattre seuls, sans aucune aide.
C'est ainsi que l'on qualifit souvent les chasseurs.
Mais ce genre de dires sont pour le plus souvent totalement fausses.
Un chasseur ne peut jamais être seul,c'est l'escense même de notre classe.Car bien souvent on oublit le compagnon qui nous suis depuis le début..... notre familier.
C'est une histoire de confiance mutuelle, notre familier nous préviens du danger, et nous, nous le protègeons ainsi que lui nous protège.
C'est ainsi que je repart à la découverte de nouveaux territoires.
Mais ce matin là, je fut seule devant les Tarrides. Fenrir ne se trouvait plus à côté de moi. Je l'appelait, sans aucun résultat. Mais je ne m'en inquiéta pas plus que ça, il n'est pas rare de voire son familier disparaitre pour aller chasser.
Soudain, un grognement attira mon attention. Les gardes ! je les avait oubliés.... Deux Torens plutôt imposants se trouvaient à la frontière entre les Tarrides et Ashenvale.
Ils ne m'avaient heureusement pas vue, et je parti discrètement du buisson où je m'était cachée jusqu'à un passage non surveillé.
Sans Fenrir pour me prévenir du danger, il fallait que je sois discrète pour ne pas attirer l'attention des races de la Horde.
Bien que le paysage soit désertique, il n'en était pas du moins agréable à regarder. Ce silence et ce soleil....
M%ais je vis au loin, sur le chemin, un corps allongé.
Qui était-ce ? Et pourquoi cette silhouette me disait quelque chose ? ça ne pouvait pas être un habitant de la horde.... Un elfe ? Sans faire attention, je sorti des broussailles et me précipita devant le corps inerte du jeune elfe, en plein milieu du chemin principal.
Ce que je vis me serra l'estomac. C'était Solas, un jeune elfe avec qui j'avais plusieur fois fais équipe lors de mon inisciation. Mais pourquoi son corps était il toujours là ? Son esprit devrait pourtant rejoindre son corps !
La peur me noua le ventre. "Et si....et si c'était fini ? Et si notre ésprit partait à jamais dans l'au-delà ? "
Mais pour quelle raison ce changement? Notre ésprit retrouvait toujours notre corps !
C'était impossible, impossible !
Soudain, je senti une précense derière moi.
Je fit rapidement volte-face, et me retrouva nez à nez avec....le mort-vivant.....CE mort vivant! Celui qui m'avait arraché à mon corps !
La rage monta en moi en même temps que ma peur. Si il me tuait,tout était fini....
Je ne réfléchi pas, il n'eut pas le temps de m'envoyer une de ses puisantes attaques élémentairs que bondit sur le côté en saisissant mes dagues.
"Tant pis pour l'arc! Il est bien trop pret de moi!"
je n'avait jamais ressentit autant de fureur, et ma colère guida mes armes.
J'esquivait, bondissait, attaquait! Mais malheureusement, la différence de niveau était trop flagrante, et une boule de feu me projeta durment à terre.
J'avais mal partout...serait-ce la fin ?
Je serra les points, attendant le coup de grace, quand soudain un grognement familier me redonna espoire.
"fenrir!"
Le loup enragé lui sota à la gorge. Je vis dans ses yeux autant de fureur que j'en avais, et il lasséra de ses énormes griffe le bras du mort-vivant.
J'eu juste le temps de retrouver mes esprits pour lui décocher une flêche qui atteint son coeur.
Puis une autre, et encore une autre,jusqu'à ce qu'il subisse le même sort que mon défunt ami.
Fenrir lacha prise, le mage était mort.
je tombait lourdement sur les genoux, transpirante et accablée.
J'ouvri les yeux. Fenrir était assit en face de moi et plongeait ses yeux jaunes dans les miens.